Dimanche, 14 décembre 2008, était le premier jour de fonctionnement de la nouvelle ligne à grande vitesse Paris/La Roche-sur-Yon/Les Sables d'Olonnes, qui met la cité balnéaire à trois et quart de la capitale sans changement.
Trois ans de travaux pour un coût de 105 millions d'euros, et voilà la Vendée desservie par le TGV, permettant aux voyageurs de raccourcir leur trajet (environ 4h auparavant pour relier les Sables à Paris) et d'échapper au changement à Nantes. « C'est la fin d'une particularité qui faisait de la Vendée à la fois le principal département touristique de la façade Atlantique et le plus attractif, mais aussi le seul à ne pas être desservi par le train à grande vitesse. » se félicite Philippe de Villiers, président du Conseil général de la Vendée.
En 2004, la région Pays de la Loire avait arrêté une expérience lancée en 2000, consistant à tester une liaison directe de la Vendée avec un TGV tracté une locomotive diesel. Un dispositif trop cher, qui avait fini par céder la place à des liaisons classiques en TER depuis Nantes, en attendant la mise en place du « vrai » TGV.
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